Nicolas Richard, le traducteur hors-pair des plus grands

Il est une machine de guerre. Il a traduit, Brautigan, K. Dick, Dylan, Truman Capote, Adam Thirlwell, Valeria Luiselli, Thomas Pynchon, Tarantino, Patti Smith, Stephen Dixon, le gros Crumley et surtout l’immense Hunter S. Thompson. Il fut manager de groupe de rock et aucun de ses amis ne l’a jamais entendu se plaindre.

Nicolas Richard publie ses anti-Mémoires de traducteur: «Par instants, le sol penche bizarrement» (Robert Laffont). Deux heures de franche rigolade et d’amour du travail bien fait.

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