Un ex-salarié de l’entreprise, auditionné par l’IGPN, explique à Mediapart : « J’ai moi-même participé à soudoyer des policiers, à la demande du responsable de la société. J’ai porté des enveloppes remplies de billets chez des policiers ou déposé des voitures à des policiers. »
Mediapart
Lire la suite sur la source : La justice soupçonne des pots-de-vin entre des policiers franciliens et la fourrière