Média 100% indépendant, en accès libre, sans publicité, financé par ses 1623 donatrices et donateurs ce mois-ci !

Faire un don

Convoquée : Ciuciu Anina

1 article
Avocate et auteure
Anina Ciuciu est avocate et auteure. Rom, elle est née en Roumanie d’une famille sédentaire. Alors qu’elle est enfant, sa famille migre vers la France, en passant par l’Italie et après une période de vie sans papiers, y obtient des titres de séjour. 
Scolarisée, elle réussit dans les études et est admise à l’université Panthéon-Sorbonne, en droit. Remarquée par Frédéric Veille, journaliste et déjà auteur de biographies à succès, il la convainc d’écrire sur son propre parcours. Médiatisée, elle s’attache à démonter les préjugés infligés à sa communauté. 
En 2014, elle est nommée conseillère honorifique sur la problématique Roms auprès du Premier ministre roumain Victor Ponta. En 2017, elle figure sur la liste d’Europe Écologie Les Verts pour les élections sénatoriales de Seine-Saint-Denis.
Elle milite pour la Justice sociale et environnementale et contre l’antitsiganisme structurel, elle est avocate du Collectif des Mamans  « l’école pour nos enfants » et du Collectif Das So Vas. 
Elle est autrice de l’ouvrage ”Je suis Tsigane et je le reste” (City, 2013).
Ritchy Thilbault, Lise Foisneau, Dylan Schutt & Anina Ciuciu #AuPoste
+++

Identifier et combattre l’antitsiganisme

Le 16 Mai 1944, les hommes et les femmes du « camp des familles tziganes » d’Auschwitz II-Birkenau se soulèvent. Ce 16 Mai 2024, jour de commémoration de cette insurrection gitane, Ritchy Thibault nous invite dans La Barricade à identifier et à combattre l’antitsiganisme en compagnie Lise Foisneau, anthropologue, Dylan Schutt, militant contre l’antitsiganisme et Anina Ciuciu, autrice et avocate.
2025 EN AVANT!

L’extrême droite qui rafle la mise, partout. Les libertés fondamentales attaquées de toutes parts. Une gauche de gauche à reconstruire. Plus que jamais une presse réellement indépendante, et pas pareille, est nécessaire.

Je fais un don #AuPoste

Dons déductibles des impôts (66%) au nom du pluralisme de la presse.