Média 100% indépendant, en accès libre, sans publicité, financé par ses 1563 donatrices et donateurs ce mois-ci !

Faire un don

Convoqué : Bonnet François

3 articles
Journaliste
François Bonnet est journaliste et président du Fonds pour une presse libre. Il commence sa carrière de journaliste au « Matin de Paris » avant d’intégrer VSD en tant que secrétaire de rédaction en 1983. En 1986, il rejoint Libération, toujours comme secrétaire de rédaction, mais intègre finalement les services Société, puis Politique du journal. En 1992, il devient chef adjoint du service Politique. En 1995, il intègre Le Monde, comme chef adjoint du service Société. 
À partir de 1998, il en devient le correspondant à Moscou. Cette expérience lui permet de devenir rédacteur en chef du service international à partir de 2001 et est rattaché quelques années plus tard à la direction générale du Monde. Quittant le groupe, il devient directeur adjoint de la rédaction de Marianne pendant quelques mois, en 2007. L’année suivante, il co-fonde Mediapart et en assure la direction éditoriale jusqu’en 2018. 
Il est actuellement président du Fonds pour une presse libre. À ce titre, il est auditionné en 2022 dans le cadre de la commission d’enquête du Sénat au sujet de la concentration des médias en France.
+++

États généraux de la presse indépendante

« Libérons l’information des pouvoirs politiques, des médias de la haine, des milliardaires ». Le 30 novembre, plus de 100 médias indépendants, organisations et collectifs de journalistes ont appelé à un sursaut. Une soirée co-présentée par Nora Bouazzouni (Paye ta pige) et David Dufresne (Au Poste).

Aupostien·ne·s: soutenez AuPoste 100% libre, 100% live. Par votre grâce, nous pouvons continuer à accueillir des invités audacieux, produire des enquêtes critiques et défendre une parole libre.
Votre don finance directement les émissions et garantit notre indépendance éditoriale.
Avec vous, on tient bon. Face aux pouvoirs et contre les discours dominants.
Je fais un don #AuPoste

Dons déductibles des impôts (66%) au nom du pluralisme de la presse.