« Tarnac, j’y ai passé trois ans d’enquête et une année d’écriture. Je n’ai pas travaillé à proprement parler sur l’affaire des inculpés du 8 décembre. Mais on a publié sur Au Poste une chronique quotidienne du procès, qui montrait sans ambiguïté qu’il n’y avait rien pour les incriminer, un vide absolu. Autour de Tarnac, il y avait eu des mois de surveillance, un scénario que les policiers pensaient avoir minutieusement tissé, à tort.
Article complet sur le site-source: cqfd-journal.org