Étaient présents, entre autres: l’Ajar, Anticor, Attac, Basta, Fakir, La Chance, La Déferlante, Le Bondy Blog, Le Poulpe, la Maison des lanceurs d’alerte, Marsactu, OIP, Politis, Reporterre, StreetPress, SOS Méditerranée.

Bien entourée, l’équipe était réunie (sans le taulier) ce samedi au festival de Mediapart pour rencontrer aupostien·nes convaincu·es et auditeur.ices de demain. Dans une ambiance festive, le Point Fort (à Aubervilliers) fut l’hôte de débats, rencontres et concerts, pour les curieux venus découvrir l’envers du décor de la fabrication de l’information.

Prêcher la bonne parole, faire découvrir au plus grand nombre le travail d’Au Poste, expliquer et discuter des coulisses de notre média : telles étaient nos missions. Cette journée fut donc l’occasion de vous rencontrer et d’échanger, malgré l’absence remarquée du fondateur… « Il boude ? » nous glisse, sourire en coin, un Edwy Plenel aux yeux rieurs.
Tenir ce stand, c’était aussi écouter vos critiques, vos recommandations et vos encouragements. « C’est chouette d’avoir un média qui invite autant de monde », nous félicite un auditeur. Toutes légitimes, vos remarques sont l’occasion pour nous de questionner notre travail. Nos thèmes vous intéressent, le fait d’être en podcast est vraiment apprécié, de même que les résumés sur le site (notamment pour se faire une idée des contenus et des angles d’analyse choisis).

On a eu des dons plutôt généreux (genre des billets). On a raté des ventes de t-shirts («quoi? vous n’avez pas de sabot à carte bancaire» ?). On a récolté une bonne poignée d’adresses mails pour notre infolettre. Et on a demandé aux gens de s’inscrire sur YouToube pour atteindre les 50.000 abonnés. On a expliqué pourquoi c’était important. Les intéressés se montraient favorables.
C’est donc entre stands militants, expositions et débats que notre équipe vous a accueilli·es ce samedi, pour son plus grand plaisir. Bien plus qu’un simple événement, ce fut une occasion précieuse de créer du lien et de se rencontrer – une action indispensable pour s’organiser ensemble et, qui sait, « mettre un peu de trouble dans l’ordre dominant ».

Merci à Aurélie (pour sa présence et ses souvenirs), Tommy, Balthazar et Julie pour leur présence, et Nayan (pour les clés).